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Durant le foulage du blé qui, à l’époque s’accomplissait “ aux Aires’’, elle permettait aux manouvriers et aux habitants du haut du village, de se désaltérer et se rafraîchir. Dans cette rue, en descendant vers le village subsiste un lavoir aujourd’hui transformé en jardinière, mais que l’on peut reconnaître grâce aux belles pierres de sa margelle.